Tous les ans, à la même époque, elle annonce l'arrivée du printemps. Il est vrai que des signes avant-coureurs se manifestent dès la fin Janvier avec le passage des premières Grues et l'éclosion des Perce-neiges.
Puis, dès la fin Février, le saule pleureur commence à verdir. Il y a une semaine, un Milan a survolé la maison, mais trop haut pour être photographié. Viendront ensuite les Hirondelles et autres oiseaux migrateurs...
Voici donc la Huppe Fasciée, surprise hier lors de notre déjeuner; elle faisait alors de même en se régalant de vers et d'insectes, alors que nous continuons à bouder ces sources de protéines.
Autre visiteur qui n'attend pas le printemps pour se servir dans les gamelles de nos chats, celui que nous avons appelé le Pique-Assiette. Photographié il y a une demi-heure. Surpris, il a fait profil bas, dans le vrai sens du terme, avant de prendre la poudre d'escampette.
Au départ, il y a cette performance des Choeurs Militaires de Corée du Nord...
Puis tout naturellement l'original, avec l'inimitable et grandiose Freddy Mercury
Et terminons par ce duo de deux géants du rock anglais, Mercury et Bowie. De la vraie grande musique, loin des ennuyeuses soupes "électro" ou de l'insupportable rap plébiscités par (ou imposés à; c'est comme on l'entend...) notre jeunesse actuelle.
Hier, en allant voir un ami, je photographie (depuis la route, je précise) cette étrange machine garée dans la cour d’une ferme. A première vue, sa vocation m’échappe ; elle ne ressemble pas à une moissonneuse-batteuse, ni une ensileuse, arracheuse de patates, botteleuse, etc…
Rentré à la maison, je mène mon enquête. De marque Albach et dotée d’un moteur Volvo (c’est marqué dessus), elle appartient à une entreprise de travaux agricoles sise dans le Loiret, et en affinant avec ces quelques informations, l’identification se fait. Il s’agit d’une broyeuse de bois automotrice de grande puissance (600 ch tout de même).
La voici en action.
Capable et autorisée à rouler à 80 km/h sur la route, elle emporte une petite remorque (visible sur ma photo) sur laquelle le machiniste met sa voiture pour aller de chantier en chantier.
L’an dernier, une nouvelle version encore plus puissante (798 ch) est lancée.
Comme je l’avais déjà exposé, nos haies sont attaquées de toutes parts. On voit le long de nos routes et chemins de plus en plus de ces grands tas de longs bois, qui attendentd’être avalés par ces machines qui les réduisent en copeaux. Elles sont capables d’engloutir des troncs d’un mètre de diamètre. Ensuite, direction l’usine à granulés pour le chauffage (à 25 kms d’ici) ou celle de fabrication de panneaux de particules (50 kms).
Je crains que cette façon de "faire du bois", certainement plus rentable car elle demande moins de main d'œuvre, va peu à peu marginaliser la méthode classique à la tronçonneuse qui fournit le bois en bûches que nous mettons dans nos poêles.
Il s'agit donc de l'industrialisation d'une activité restée jusqu'ici principalement artisanale. A quand l'interdiction du chauffage traditionnel? A quand l'obligation du chauffage piloté par smartphone à l'aide d'une ce ces applications qui envahissent notre vie quotidienne (enfin, pas la mienne puisque je n'ai pas de smartphone)? Application bien entendue fournie par une agence agréée…
Celle de François Hadji Lazaro, qui oeuvrait dans les groupes Pigalle et Les Garçons Bouchers. Une musique originale qui semble ne pas avoir fait école; pourtant tout de même autre chose que l'électro ou le rap qui monopolisent les ondes aujourd'hui. Pour celles et ceux qui se souviennent, voici un de ses titres les plus connus.
En début de semaine, j'ai eu le plaisir d'observer et de photographier, certes médiocrement, ces chevreuils derrière chez nous. Encore quatre jours à être vigilants et, à partir de mercredi, sept mois de tranquillité pour eux avec la fermeture de la chasse.
Cette petite histoire en a déjà fait rire beaucoup, alors la voici. Pour celles et ceux qui ne maîtrisent pas suffisamment l'anglais: "J'ai suivi ce ballon chinois sur 200 miles (320 kms); il s'est finalement avéré que c'était une fiente d'oiseau sur mon pare-brise..."