Le prélavage est une opération qui consiste à enlever les plus grosses taches avant un lavage plus complet. Pour le linge, il s'effectue à la machine et à 60°...
Pour la vaisselle, c'est à froid et à la main, enfin... à la langue!
Le prélavage est une opération qui consiste à enlever les plus grosses taches avant un lavage plus complet. Pour le linge, il s'effectue à la machine et à 60°...
Pour la vaisselle, c'est à froid et à la main, enfin... à la langue!
Il y a un peu plus d'un mois, cet étrange insecte s'est invité à la maison. Je l'ai trouvé sur un rebord de fenêtre. De nature apparemment calme, il ne s'agitait que mis sur le dos...
Après avoir consulté les deux ou trois ouvrages que je possède sur le sujet, je n'ai pas pu l'identifir. Il ressemble à la famille des Nèpes et Notonectes (Hydrocorises), mais ces derniers sont des insectes aquatiques. Caractère particulier: ses immenses pattes arrières qu'il tient à la perpendiculaire. Alors, comme grâce à Cyrano de Pessié, je pense avoir identifié avec ceritude la pupe du Flambé, je fais encore appel aux connaissances de mes lectrices et lecteurs...
On dirait que, dans un dernier hoquet, cette pauvre vieille bétaillère vient de cracher ses tripes... Presque une vision d'après-Apocalypse!
Malgré les mauvaises conditions météorologiques de ce début d’Automne, la récolte de Figues fut pléthorique. Enfin, la seconde récolte car la première, en Juillet, ne donne en général pas grand-chose.
L’occasion ou jamais pour vous expliquer comment multiplier cet arbre qui ne nécessite aucun entretien, à part un élagage pour éviter qu’il ne prenne des proportions déraisonnables. Il vous faut pour cela un bidon (de 5 à 10 litres) en plastique, bien lavé, dont vous aurez découpé une face et retiré le bouchon.
Choisissez ensuite une tige de l’année, placée très bas de manière à ce que le bidon puisse être posé sur le sol. Dans le cas contraire, vous pourrez toujours le poser sur un support en hauteur, voire le fixer au tronc.
Après avoir rempli votre bidon à moitié de bonne terre, faites passer la branche par le trou du bouchon après avoir enlevé les feuilles restantes.
Il faut bien arquer la branche afin que toute sa longueur soit enterrée, et non affleurante. C’est en effet tout au long de cette section enterrée que se formeront les racines, au contact de la terre.
Disposez ensuite une pierre suffisamment lourde pour maintenir le bidon au sol, car la branche aura tendance à se relever. Cette opération aura aussi pour effet de supprimer le lessivage de la terre par les eaux de pluie. Au bout d’un an, il vous suffira de couper la tige à l’entrée du bidon, de « démouler » et de replanter ailleurs le nouveau Figuier ainsi obtenu ! Le Figuier est peu exigeant, sinon qu’il lui faut une exposition ensoleillée si on veut des fruits. Evitez de les planter au pied des descentes de gouttières, car ils n’ont pas besoin d’arrosage en raison de l’extension phénoménale de leur système racinaire.
Non, non, je ne me lance pas dans une interprétation hérétique des Saintes Ecritures, car je n’ai aucune envie de finir sur le bûcher des intégristes de tout poil qui fleurissent un peu partout…
Parfois, essentiellement par les matins humides d’Automne, on trouve dans les champs ou les chemins des filaments accrochés aux herbes ou aux aspérités du sol. Appelés « fils de la Vierge » ou « cheveux d’ange », ils font fantasmer depuis des lustres touts les amateurs d’ésotérisme, de surnaturel et de vaisseaux intergalactiques
Morceaux de toiles d’Araignées, résultat d’un processus chimique à la sortie des réacteurs d’avions, témoignage du passage d’extra-terrestres, résidus de l’industrie chimique, j’ai tout trouvé en faisant une recherche sur Internet ! Au toucher, c'est une substance douce et fibreuse, mais qui ne colle pas aux doigts comme le font les toiles d'Araignées.
Curieusement, aucun site traitant le sujet ne paraît réellement sérieux, et tous semblent orienter leurs arguments en fonction de la conclusion qu’il veulent imposer… Parmi les plus farfelus, je vous conseille celui-ci :
http://www.archives-dossiers-secrets.fr/forum/viewtopic.php?pid=3274
Personnellement, je n’ai jamais vu, ni même entendu d’OVNI ; doté de plus d’un esprit bassement cartésien et dénué de toute fantaisie, je préfère rester circonspect, et me contente d’admirer le spectacle de ces fils dans la lumière rasante du matin… A moins que, le 21 Décembre 2012 approchant, ce phénomène ne soit annonciateur de la Fin du Monde?
Loin du Berry, le département des Pyrénées-orientales possède une quantité de chapelles et d'églises isolées en pleine nature. Histoire de se changer les idées alors qu'ici, il pleut depuis 3 jours, en voici quelques-unes...
Saint-Martin de Cuchous (exactitude du nom non-garantie), entre La Tour de France et Cassagnes... La chapelle faisait partie d'un prieuré dont il ne reste que quelques ruines. La campagne environnante, quasi-déserte aujourd'hui, était jadis couverte de petits mas et grouillait de vie...
L'église de Montalba est quelque peu éloignée du village qu'elle dessert...
La chapelle de Comès, au-dessus de Prades...
Celle se Sainte-Félicité, en montant sur Sournia, est en ruines. Peut-être aurai-je le plaisir, lors d'une prochaine visite, de la voir renaître, d'autant plus qu'elle possède des éléments très anciens (arcs outrepassés).
Toujours près de Sournia, mais de l'autre côté du village, la chapelle Saint-Michel.
En montant au-dessus de Rabouillet, l'église d'Arsa semble être tout ce qui reste du village du même nom...
Remontons maintenant la vallée de la Boulès, sur les contreforts du Canigou. Invisible depuis la route, l'église du prieuré de St-Nazaire vient d'être restaurée.
Jadis entourée de quelques maisons et d'un moulin, cette jolie chapelle, dans un cadre idyllique, au bord de la rivière est ici vue côté Sud.
Plus haut, le Prieuré de Serrabone, dont je parlerai plus en détail dans un autre article...
La preuve...
En ces temps où le « politiquement correct » et les bien-pensants de tout poil font autorité, imaginons un peu ce qu’encourraient les auteurs de telles images…
Tintin au Congo ; édition originale, 1930… (Editions Casterman)
Ci-dessus et ci-dessous,Tintin au Pays de l’Or Noir, 1950… (Editions Casterman)
Heureusement qu’il nous reste Bigard!
Le cliché d'origine: une Grande Sauuterelle Verte dans des épinards. Sujet vert sur fond vert; peu de contraste.
Première étape, recadrons le sujet, afin d'éliminer ce qui est d'un intérêt secondaire, el l'occurrence les feuilles d'épinards.
Seconde étape, jouons sur l'intensité des tons clairs et foncés pour faire ressortir le sujet: la Sauterelle.
Enfin, améliorons la netteté. Cette dernière opération de donne pas un résultat très visible sur le Blog, car je dois réduire la définition des images pour qu'elles ne prennent pas trop de place. Parti d'une composition aux tons délavés sur laquelle le sujet était mal mis en valeur, je suis arrivé à une Sauterelle de laquelle dont se réjouit qu'elle ne fasse pas un mètre d'envergure comme ses congénères des temps jurassiques...
Merci à Jean-Claude, un camarade du Club Photo de Cosne, qui nous a enseigné tout ça hier soir...
Le Trait de Jupiter est un une technique d’assemblage utilisée par les charpentiers pour raccorder deux pièces de bois bout-à-bout. Ici, à la Tour de Vesvre, il semble que le but ait été de pouvoir réaliser une poutre d’une portée de 11 mètres au moyen de deux morceaux. Deux avantages découlent de ce choix ; d’une part, cela permet d’utiliser deux arbres de moindre dimensions, moins cher qu’un fût de 12 mètres ; d’autre part, le levage et la mise en place seront facilités.
Le retour à chaque extrémité du plan de joint sert à empêcher tout déplacement longitudinal dû à la compression. Dans l’autre sens, c’est-à-dire en traction, le verrouillage est assuré par quatre chevilles alignées verticalement. Un tenon chevillé empêche tout déplacement latéral ; il y en a un autre, visible sur le cliché précédent, en haut.
Cette poutre de portée respectable devant travailler en flexion car elle porte un lourd sol de tomettes, un pilier a été installé à l’aplomb du trait de Jupiter, sécurisant ainsi l’ensemble.
Nous sommes ici dans l’ancienne église St-Pierre, à la Charité sur Loire, qui est actuellement en pleine rénovation après son rachat par la municipalité. Il s’agit d’un entrait de la charpente du toit, pièce qui travaille essentiellement en traction. Le Trait de Jupiter, vraisemblablement posé lors du remplacement de l’extrémité pourrie de l’entrait, y est beaucoup plus simple. Une pièce horizontale, formant corbeau, a été installée au-dessous pour renforcer l’assemblage.