30.000 €, c'est au moins la somme qu'il faudrait me payer pour participer à une telle expédition. Je déteste le froid, ai peur des ours polaires et me couche à 22h. De plus, il paraît que les passagers fortunés serviront de cobayes à des expériences...
J'apprends ici qu'il existe un Grand Prix Poésie de la RATP! En tous cas pas assez pour me faire apprécier l'aussi ennuyeux que prétentieux Vincent Delerm et, à cette heure précise, c'est Jean-Sébastien Bach qui régale mes oreilles.
Après avoir réalisé que je ne connaissais pas le Grand Prix Poésie de la RATP, je découvre ce matin que ma vie intime a toujours été d'une pleurante banalité! Grâce à la lecture (partielle car je ne suis pas abonné) de cet article, je pense qu'il en sera tout autrement dans l'avenir...