6 février 2010
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Certes, des mots comme "sandwich" ou "football" font partie intégrante de notre langue depuis longtemps, et il ne saurait être question, par excès de franchouillardise, de leur trouver un équivalent dans la langue de Molière.
Mais pourquoi dire "relooker" à la place de "restyler", et pourquoi les avions modernes se "crashent"-ils, alors que leurs prédécesseurs s'écrasaient ou s'abîmaient (en mer)?
Plus rares sont les nouveaux mots 100% français, mais ça existe. Sur France-Inter (la seule radio qui échappe à mon embargo, à quelques rares exceptions près), lors de deux reportages concernant respectivement une femme condamnée au Mexique, et des prisonniers belges qui seront logés dans la prison de Tilburg, aux Pays-Bas, les journalistes ont employé le mot "transfèrement".
Jusqu'ici, on entendait parler de "tranferts" de prisonniers. A quand les "transfèrementations"?
Mais pourquoi dire "relooker" à la place de "restyler", et pourquoi les avions modernes se "crashent"-ils, alors que leurs prédécesseurs s'écrasaient ou s'abîmaient (en mer)?
Plus rares sont les nouveaux mots 100% français, mais ça existe. Sur France-Inter (la seule radio qui échappe à mon embargo, à quelques rares exceptions près), lors de deux reportages concernant respectivement une femme condamnée au Mexique, et des prisonniers belges qui seront logés dans la prison de Tilburg, aux Pays-Bas, les journalistes ont employé le mot "transfèrement".
Jusqu'ici, on entendait parler de "tranferts" de prisonniers. A quand les "transfèrementations"?