20 avril 2009
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08:40
Une fois n'est pas coutume, un sport mécanique est à l'honneur dans ce blog! Hier se tenait à Sancerre une épreuve de Trial, discipline consistant à franchir des obstacles sans mettre pied à terre. Des machines de toutes époques étaient présentes, ce qui constituait l'intérêt principal de ce rassemblement.

La plupart des participants étaient venus de loin, et campaient sur le site de l'Orme au Loup.

Ceux-ci, venus du "neuf-quatre",pour la journée, avaient amené deux vénérables Anglaises datant d'environ 1960: une Ariel et une BSA.

Premiers tours de roues pour cette BSA des années 1970.
Les motos de Trial sont compactes et dépouillées pour être les plus légères possible.

Le pilote de cette BSA vient de pointer au contrôle du départ, et s'apprête à rejoindre par la route la première "zone", au Clos du Roc. Son monocylindre 4 temps culbuté est peu-être un 350 cm3, cylindrée maximum pour le Trial.
La zone du Clos du Roc est un chaos de blocs de silex, dont certains doivent être escaladés. ici, c'est une Triumph.
Chaque pied mis à terre vaut une pénalité.
Il fait beau et sec, ce qui facilite beaucoup le travail!

Cette moto beaucoup plus récente est une Fantic italienne.
Toujours pour des raisons de poids, les moteurs deux-temps ont pris le pas sur les quatre-temps dans les années 1970, surtout avec les marques espagnoles Bultaco, Ossa et Montesa, puis ensuite s'est imposé Yamaha, avec ses célèbres "TY".
Aujourd'hui, on assiste à un retour timide du 4-temps, pour cause de respect de l'environnement.

La marque reine du trial est aujourd'hui Beta. Cette machine espagnole ultra-dépouillée ne possède même plus de selle!
Celle en arrière-plan est une James anglaise à deux temps datant de 1965.

Le trial demande une bonne force physique, et un constant effort de réflexion, afin de choisir le bon passage.
Ne faisant ni bruit, ni poussière, il est la preuve que sports mécaniques peuvent se conjuguer avec courtoisie, respect de l'environnement et de la tranquilité des riverains!

La plupart des participants étaient venus de loin, et campaient sur le site de l'Orme au Loup.

Ceux-ci, venus du "neuf-quatre",pour la journée, avaient amené deux vénérables Anglaises datant d'environ 1960: une Ariel et une BSA.

Premiers tours de roues pour cette BSA des années 1970.
Les motos de Trial sont compactes et dépouillées pour être les plus légères possible.

Le pilote de cette BSA vient de pointer au contrôle du départ, et s'apprête à rejoindre par la route la première "zone", au Clos du Roc. Son monocylindre 4 temps culbuté est peu-être un 350 cm3, cylindrée maximum pour le Trial.

Chaque pied mis à terre vaut une pénalité.
Il fait beau et sec, ce qui facilite beaucoup le travail!

Cette moto beaucoup plus récente est une Fantic italienne.
Toujours pour des raisons de poids, les moteurs deux-temps ont pris le pas sur les quatre-temps dans les années 1970, surtout avec les marques espagnoles Bultaco, Ossa et Montesa, puis ensuite s'est imposé Yamaha, avec ses célèbres "TY".
Aujourd'hui, on assiste à un retour timide du 4-temps, pour cause de respect de l'environnement.

La marque reine du trial est aujourd'hui Beta. Cette machine espagnole ultra-dépouillée ne possède même plus de selle!
Celle en arrière-plan est une James anglaise à deux temps datant de 1965.

Le trial demande une bonne force physique, et un constant effort de réflexion, afin de choisir le bon passage.
Ne faisant ni bruit, ni poussière, il est la preuve que sports mécaniques peuvent se conjuguer avec courtoisie, respect de l'environnement et de la tranquilité des riverains!